Quand deux peuples se rencontrent, souvent ils se combattent
Dans rencontre il y a contre et dans combattent hâte…
Une hâte de conquêtes, d’esclavage, d’épuration
De l’arc à l’arbalète c’est l’incompréhension…
Alors on se jalouse, se provoque, s’envahit
L’herbe est tellement plus verte chez le voisin haï !
Quand deux peuples se rencontrent, toujours ils se métissent
Car la curiosité, l’admiration s’immiscent
Le mur de la peur peu à peu se fracture
Finie la haine en sac, c’est l’amour sans guipure.
Victoire à la Pyrrhus et lourds tributs de guerre
C’est l’immonde de la guerre et puis tout le monde y perd
Arès reste à l’arrêt et Mars privé de morse
Vénus exhibe son aphrodisiaque torse…
Quand deux peuples se rencontrent, souvent ils se combattent
Puis un jour se métissent, réunis sur la natte…